Planifiez votre retraite à l’avance
«Rente ou capital?»
Toute personne qui planifie précocement sa retraite (partielle), profite davantage de la troisième période de sa vie, et doit également se poser la question si elle veut toucher une rente ou un capital. La CP Merlion permet même, selon les besoins, une solution mixte individuelle.
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À mesure que l’on prend de l’âge, le moment de prendre sa retraite approche et l’importance de la question posée en exergue «Rente ou capital?» s’accroît. En effet, le choix entre toucher une rente ou se faire verser le capital-vieillesse a des conséquences considérables et dépend en dernière analyse de la situation individuelle de chaque futur retraité. Toutefois, indépendamment des différences dans la situation de chacun, un fait est et reste le même pour tous: le futur retraité ou la future retraitée ne peut prendre sa décision, ou mieux, donner sa réponse à la question «Rente ou capital?» qu’une seule fois dans sa vie, et ce à titre irrévocable. C’est-à-dire qu’il ou elle ne peut plus revenir sur sa décision et demander de changer d’option. Il faut donc donner une réponse personnelle et fondée à la question «Rente ou capital?» en tenant compte de toutes les circonstances individuelles de la vie durant le troisième âge, afin d’organiser professionnellement son existence de rentier ou de rentière. Les assurés de la CP Merlion doivent faire connaître leur décision de toucher le capital-vieillesse au moins un mois avant l’âge ordinaire de la retraite.
Il est impossible de donner une réponse généralement valable à la question précitée. En effet, pour chaque assuré, il n’existe qu’une seule solution individuelle, qu’il doit littéralement élaborer. Lorsqu’une personne a déjà de graves problèmes de santé avant l’âge ordinaire de la retraite, elle devra tenir compte de cette circonstance dans son processus décisionnel.
Analyser soigneusement sa situation personnelle
Seul celui qui a analysé avec soin sa situation individuelle, sa santé, sa situation patrimoniale et ses exigences à l’égard de la troisième phase de la vie, tout particulièrement sa relation personnelle avec les aspects financiers, peut, dans cette perspective, donner une réponse individuelle à la question «Rente ou capital?». Il ne doit en aucun cas prendre une décision de façon émotionnelle et le souhait souvent exprimé de laisser à ses enfants ou à d’autres membres de sa famille quelque chose en «héritage» doit passer au second plan.
«Le choix entre la rente et le capital est unique et irrévocable. La décision mérite donc d’être mûrement réfléchie!»
«Une forme mixte individuelle composée partiellement d’une rente et d’un capital permet de répondre aux deux besoins des retraités: la sécurité et la flexibilité.»
Il n’est pas nécessaire que la réponse soit: seulement la rente ou seulement le capital, parce que la CP Merlion autorise également une solution individuelle mixte composée en partie d’une rente et en partie du versement d’un capital. C’est ainsi qu’un nombre croissant d’assurés choisit une rente partielle pour disposer chaque mois, avec l’AVS, d’une base financière sûre couvrant les dépenses courantes. La part dépassant la prévoyance individuelle peut alors être touchée sous forme d’un capital à l’âge ordinaire de la retraite pour pouvoir réaliser un désir individuel. Cette variante offre, d’une part, la sécurité d’un flux permanent de revenus et, de l’autre, une flexibilité financière ponctuelle.
«Celui qui s’est occupé de finances toute sa vie peut envisager de se faire verser tout son capital!»
Planifier
Bien entendu, les circonstances personnelles, familiales et existentielles changent en permanence, mais à partir de l’âge de 55 ans environ, il est prudent de commencer à s’occuper soigneusement de sa retraite et de se poser la question «Rente ou capital?» Il est également indiqué de se faire conseiller en prévision de la retraite qui s’annonce, pour pouvoir donner par conviction personnelle une réponse qui tienne la route à la question précitée au moment de la retraite.